dimanche 12 septembre 2004
j'ai passer une nuit horrible à pleurer toutes les larmes de mon corps, pour quelqu'un qui ne mérite même pas qu'on l'aime.Je me sens aller dans une descente aux enfers.C'est comme un flash bach d'une vie, toutes les erreures réaparraîssent, toutes les douleures, le vide, et le manque ne font que le souligner.C'est comme si on me planter des couteau dans tout le corps, comme si mon sang se déversais à flot.Mon corps et mon âme est brisé en morceau.Je n'ai plus la force de rien, plus envie de rien.Je n'ai plus de rêves, même ça tu me les as voler, tu ne m'a rien laisser, juste les larmes et la douleur.J'étouffe, je suis anéanti, léssivée, démoli, je sens que je m'évapore je ne suis plus rien.Une loque, un zombi, je suis comme un automate programé.je suis en train d'écouter Cabrel," les volets clos"
"Elle disais, j'ai déjà trop marcher, mon coeur est lourd de secret, trop lourd de peine.Elle disait, je ne continu plus, ce qui m'attend je l'ai déjà vécut.C'est plus la peine.Elle disais que vivre c'est trop cruel, elle ne croyais plus au soleil, ni au silence des églises, même ses sourires lui faisaient peur.C'est l'hivers au fond de son coeur.Le vent n'a jamais été aussi froid, la nuit aussi violente que ce soir là, le soir de ses 20 ans.Le soir ou elle à etteins le feu, derrière la façade de ses yeux dans un éclair blanc. Elle à sûrement rejoins le ciel, elle brille à côté du soleil, comme les nouvelles églises, même si ce soir je pleure, c'est parce qu'il fait froid dans le fond de mon coeur..."